Voici un résumé des paroles que Dieu a adressées à la femme dans Genèse 3:16 (ce que Dieu a dit, et ce que Dieu n’a pas dit) :
– Le serpent et l’homme en pleine rébellion défient consciemment Dieu.
– Les paroles que Dieu leur adresse, à chacun d’eux, suivent le même schéma (3.14-15, 3.17-19).
– La femme pèche après avoir été trompée et séduite par le serpent Tentateur, que Christ appellera plus tard “le père du mensonge”.
– Dieu ne parle pas à la femme de la même manière qu’Il parle aux deux autres personnages (3.16).
– Dieu ne dit pas à la femme : “Puisque tu as…”, comme Il le fait pour les deux autres personnages.
– Dieu ne prononce pas de “malédiction” (arur, en hébreu) sur la femme, comme Il le fait avec les deux autres personnages.
– Dieu ne maudit pas le corps de la femme, comme Il maudit le corps du serpent.
– Dieu ne maudit aucune chose à cause d’elle, comme Il maudira la terre à cause de l’homme.
– Dieu parle à la femme de la “peine” qu’elle expérimentera, comme l’homme, quand ils travailleront tous deux le sol maudit.
– Quand à l’ordre que Dieu avait donné à l’homme et à la femme d’être féconds et de se multiplier (Genèse 1:28), Dieu S’engage Lui-même à prendre des mesures pour que la femme conçoive et mette des enfants au monde.
– La descendance, ou progéniture, de la femme inclura un Libérateur qui écrasera l’ennemi de la femme.
– Dieu dit à la femme comment elle expérimentera, en tant que mère mortelle, de “l’effort” qui accompagne la naissance d’un enfant.
– Dieu constate que la femme “désire” toujours son mari.
– Dieu n’avait dit à aucun d’eux de dominer sur l’autre.
– Celui qui ferait cela désobéirait à Dieu, il enfreindrait l’ordre de Dieu.
– Un être humain aurait choisi sa propre autorité et rejeté celle de Dieu.
– Celui qui serait dominé par l’autre humain serait confronté à une terrible réalité: “Nous avons chacun désobéi à Dieu, alors comment dois-je traiter celui qui est en train d’essayer au contraire de me dominer ?”
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basé sur les recherches entreprises par Joy Fleming. Se reporter à son livre fondé sur les recherches de son doctorat à l’Université de Strasbourg, France, intitulé Man and Woman in Biblical Unity.
(c) Bruce C. E. Fleming, 2020
